Souhaitant participer au débat sur la loi dite « relative à l’accompagnement des malades et de la fin de vie », Madame Badinter assurait, il y a quelques jours, dans une lettre au député Falorni, qu’elle ne souffrait pas que certains opposants à la légalisation de l’euthanasie utilisent les propos en défaveur de l’euthanasie que son mari avait tenus en public. Robert Badinter, auteur de la loi abolissant la peine de mort en France, était, dit-elle, favorable à l’euthanasie. Il aurait même, s’il l’avait pu, voté la loi en discussion actuellement. Lire la suite